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Rénovation, loisirs... L'impact de l'inflation

Pierre Dieuzeide
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oui etude brico


L’impact de l’inflation punirait plus le secteur de la rénovation que celui des voyages ou des loisirs, selon une étude Harris Interactive qui a sondé les Français* à la demande de Brico Dépôt. Coup dur pour les GSB ? Pas trop pour le discounter qui garde le moral car cette situation semble favoriser le low-cost

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Même quand les temps sont durs on peut trouver matière à satisfaction ! C’est un peu ce qui se passe avec cette étude Harris Interactive qui a mesuré pour le compte de Brico Dépôt l’impact de l’inflation sur les activité de loisirs et de rénovation. C’est d’ailleurs l’occasion de jauger le match permanent entre loisirs, voyages et projets de rénovation de la maison. Ce n’est pas une surprise, l’inflation a un impact sévère sur les dépenses des Français et d’abord sur leur moral. Ils sont plus nombreux à ressentir fatigue et inquiétude qu’à rester confiants.

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moral

Et quand on rentre dans l’impact de ces périodes sur leur envies personnelles c’est bien le voyage qui leur apporte le plus de satisfaction, histoire de changer d’air devant une activité de loisir. La rénovation passe en 3 ème position.

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important


Tout cela n’est guère réjouissant pour le secteur brico et de fait les Français sont bien plus nombreux à penser que l’inflation  a eu impact négatif sur la rénovation que sur tout autre loisir.  Ces impacts négatifs de l’inflation ont même contraint une majorité d'entre eux à repousser ou annuler la réalisation de certaines activités de loisirs ou de rénovation, principalement pour des raisons financières (35% pour les activités de loisirs, 41% pour les activités de rénovation).

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impact inflation
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ambition


Bref c’est la réno qui prend les gifles  les plus fortes  dans cette période vaches maigres. 
Mais Brico Dépôt  trouve quand même son bonheur dans cette étude car les enseignes qui devraient s’en tirer sont celles qui pratiquent le low-cost . En effet  un tiers des personnes interrogées déclarent avoir « davantage recours à l’achat de produits d’occasion, à l’achat de produits low-cost ou au DIY. »  Et Harris Intercative d’ajouter : « Le recours plus important à ces modes de consommation alternatifs se justifie principalement pour des raisons économiques (49%), en ce sens qu’elles permettent de faire des économies pour continuer à se faire plaisir par ailleurs, plus que par une incapacité à faire autrement (29%) ou des raisons éthiques (27%).  

Cette étude a été réalisée auprès d’un échantillon représentatif de 1 013 Français, du 26 au 28 avril 2023, amènent à un certain nombre de constats forts.

Pierre Dieuzeide
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